mercredi 10 septembre 2014

FEMEN : marre de l'impunitée !



Plus de justice pour le sacré .
Se mettre a poil dans une église ,casser une cloche et voler de l'or c'est permis ! bravo  la justice !

INTERVIEW E1 - Deux militantes du mouvement féministe justifient leur action du 13 février.

Les Femen, ces militantes féministes aux seins nus, assument mardi sur Europe 1 leur action à Notre-Dame de Paris le 13 février dernier. Mais en plus, elle admettent avoir "emporté un petit bout d’or" issu de la cloche de la cathédrale parisienne.
"Payer la réparation de nos dents cassées". "Jusque là, Notre-Dame n’a pas encore prouvé que nous avons endommagé cette cloche", ont lancé Inna et Sacha Chevtchenko, deux militantes ukrainiennes, avant d’expliquer avec ironie : "nous avons empoché et emporté un petit bout d’or pour payer la réparation de nos dents cassées pendant cette action".

Le 13 février 2013, huit membres du mouvement s’étaient exhibées, seins nus, dans la nef de Notre-Dame de Paris. La raison, selon Inna et Sacha Chevtchenko : "D’une part, on a annonce la démission du pape, et d’un autre côté, c’était le jour où on discutait la loi sur le mariage pour tous. Donc nous avons décidé à cette occasion de secouer une fois de plus le cocotier".
Une plainte du recteur. Cette action, critiquée notamment par le maire PS de Paris, Bertrand Delanoë, et le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, n’a pas plu du tout au recteur de Notre-Dame de Paris. Mgr Jacquin a en effet annoncé son intention de porter plainte pour dégradation d’objets, non-respect de lieux culturels et agression sur les surveillants de Notre-Dame.

"Un mouvement anti-religieux". La religion, c’est un peu la bête noire des Femen, qui ont ouvert un camp d’entraînement en France en septembre 2012. Inna et Sacha Chevtchenko tiennent à le préciser : "nous ne sommes pas un mouvement séculariste, nous sommes un mouvement anti-religieux". "Pour nous, n’importe quelle religion approuve pratiquement l’oppression de la femme", soulignent les deux Ukrainiennes, qui se veulent actives sur tous les fronts. "Tant que nous avons la force et suffisamment d’activistes, nous allons nous mêler de tous les grands thèmes de ce monde", préviennent-elles, ajoutant : "pour nous, il est impensable que les femmes s’occupent seulement des problèmes des femmes"
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     LA JUSTICE CROIT AUX MENSONGES



L'INFO. Neuf membres du groupe féministe Femen qui étaient poursuivies pour avoir dégradé une cloche de Notre-Dame de Paris ont été relaxées mercredi par le tribunal correctionnel de Paris. Trois surveillants, poursuivis pour violences, ont quant à eux été condamnés à des amendes avec sursis.

Le parquet avait requis une amende de 1.500 euros contre chacune des neuf jeunes femmes et contre les trois membres du service d'ordre des amendes contraventionnelles de 250, 300 et 500 euros avec sursis. Le tribunal a estimé qu'il n'y avait pas suffisamment d'éléments pour imputer les dégradations sur la cloche aux Femen.
"Pope no more". Le 12 février 2013, les Femen avaient fêté à leur manière le renoncement du Pape Benoît XVI. Incognito dans le flot des touristes, elles étaient entrées dans l'édifice avant de tomber le manteau pour se jucher sur le socle de trois cloches, exposées provisoirement dans la nef, à l'occasion du jubilé des 850 ans de Notre-Dame de Paris. Les Femen avaient crié "Pope no more" (plus de pape), en faisant tinter les cloches avec des morceaux de bois.

La police avait constaté sur procès-verbal des éclats de plus d'un centimètre sur le dessus de la cloche Marcel (baptisée du nom de Saint-Marcel), recouvert de feuilles d'or.
Les Femen avaient contesté être à l'origine du dommage, arguant qu'elles avaient pris soin de recouvrir leurs bâtons de feutrine. Pas suffisamment, selon l'avocat du recteur de Notre-Dame, Me Laurent Delvolvé, pour qui la protection était mal attachée, si bien que la cloche a été frappée à "bâton nu".
Une action contre l'homophobie. En ce jour où allait être adopté à l'Assemblée nationale le projet de loi sur le mariage homosexuel, les militantes avaient aussi scandé sur le parvis "in gay we trust" ou encore "Dégage homophobe", après avoir été expulsées manu militari de la cathédrale par le service d'ordre. Trois des jeunes femmes se plaignaient de violences de la part de trois gardiens.
Un autre procès en octobre. Il s'agit du premier procès des Femen consécutif à l'une de leurs actions. Un autre doit suivre le 15 octobre. L'une des militantes, qui avait participé à l'action de Notre-Dame, et qui a depuis quitté le mouvement, sera jugée pour "exhibition sexuelle". A l'église de la Madeleine, elle avait mimé fin décembre 2013 un avortement avec des morceaux de foie de veau censés représenter un foetus, pour dénoncer la perspective de restrictions du droit à l'avortement en Espagne.

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